COMPENDIUM CAROSAI PROGRAME ON COOPERATIVE AUDITS OF REVENUE DEPARTMENT
Report ID: 308

From 2013 to 2015, the SAIs of Bahamas, Barbados, Grenada, Guyana, Jamaica y St. Lucia conducted a parallel audit of revenues,aimed to improve SAI’s professional staff and organisational capacity to conduct and report on audit of revenues / revenue departments (AIM). This audit took place under the framework of a CAROSAI Programme on Cooperative Audits of Revenue Department supported by the INTOSAI Development Initiative (IDI), the INTOSAI Capacity Building Committee (CBC).

The audit objective was to assess the effectiveness of the management of taxes (such as VAT, income tax, business tax) in the participating countries by examining key aspects of the revenue collection process: 1. Registration; 2. Collection; 3. Compliance and enforcement; and 4. Monitoring and Reporting.

A general conclusion was tbat current management performance reporting mechanisms across the agencies audited did not enable management to exercise sufficient ongoing control over the debt collection function. In some instances high level revenue targets were set related to a predetermined value as opposed to an accurate assessment of total obligations.

This impacts governments’ revenue base. The development of a monitoring strategy would provide immediate business benefits by ensuring that where ineffective processes in the debt collections function are identified, they are reported to management promptly so that remedial action can be taken.

Over the longer term, regular management reporting based on monitoring the performance of the debt collection activities (with Key Performance Indicators assigned) would support management’s responsibility to ensure the efficiency and effectiveness of its collections business operations.

Source: https://www.eurosai.org/handle404?exporturi=/export/sites/eurosai/.content/documents/CAROSAI-Compendium.pdf

Parallel Audit of the Preparation for the organisation of the final tournament of the UEFA EURO 2012 European Football Championship - (2007-2008)
Report ID: 312

The European Football Championship is the third largest sporting event after the Olympics and the World Cup. On 18 April 2007 Poland and Ukraine were granted the right to organize EURO 2012, with the Polish Football Association and the Ukrainian Football Federation jointly accepting the offer. 

On 2 May 2007 an agreement on the organisation of the Final Tournament of the UEFA European Football Championship 2010/12 was signed between UEFA and the EURO 2012 organisers, valid until 30 June 2013.  This agreement sets out the requirements for the organisation of EURO 2012 in accordance with UEFA regulations, obligations and guarantees of state authorities and local governments, among others, and contains annexes in the form of: stadium contracts, contracts with EURO 2012 host cities and agreements with ports.

A paralle audit to  "Preparation of Poland for the organisation of the final tournament of the UEFA EURO 2012 European Football Championship" was undertaken on the initiative of the SAIs of Poland and Ukraine. The audit was carried out in the period from September 2008 to January 2009, and covered the period 2007-2008.

The aim of the audit was to assess the implementation, coordination and monitoring and financing tasks related to the preparations of Poland and Ukraine for the organisation of EURO 2012 by the competent authorities, public administration and other entities, including:

1) The organizational activities carried out by the Council of Ministers and the relevant Ministers and the EURO 2012 host cities;
2) Construction or modernisation of stadia and infrastructure: aviation, road, rail, hotel and communication in the EURO 2012 host cities
3) Development of security and order projects, public and medical security, and promotion of Poland and Ukraine and the EURO 2012 host cities.

* The report is available in Polish and Ukranianource.

** The audit for the period 2009-2010 is also available in the catalogue: https://intosai-cooperativeaudits.org/catalog/report/parallel-audit-of-the-preparation-of-poland-and-ukraine-for-the-organization-of-the-european-football-championship-euro-2012-tournament

 

 

Rapport de la task force sur l'union bancaire européenne au comité de contact des présidents des institutions supérieures de contrôle des États membres de l'Union européenne et de la Cour des comptes européenne
Report ID: 317

En 2008, l'Europe a été frappée par une crise financière et une crise de la dette souveraine qui a suivi. De nombreux gouvernements ont soutenu des institutions financières en faillite avec des fonds publics s'élevant à des centaines de milliards d'euros. En réaction, les pays de la zone euro ont mis en place l'Union bancaire européenne, qui comprend un mécanisme de surveillance unique.  Dans le cadre de ce mécanisme, la Banque centrale européenne est directement responsable de la surveillance prudentielle de toutes les "institutions importantes". Les autorités nationales compétentes sont directement responsables de la surveillance des "institutions moins importantes", sur la base des orientations de la Banque centrale européenne.

Les institutions supérieures de contrôle de l'Autriche, de Chypre, de la Finlande, de l'Allemagne et des Pays-Bas ont effectué un audit parallèle pour examiner le contrôle bancaire au niveau national. Les objectifs de l'audit parallèle étaient les suivants:

1) de mieux comprendre les différences entre les États membres de l'UE dans la manière dont les autorités de surveillance ont mis en place et exercent le contrôle prudentiel des INS, et

2) de recueillir des éléments probants sur les éventuelles "lacunes en matière d'audit" qui ont pu apparaître à la suite de l'introduction du mécanisme de contrôle unique.

L'une des conclusions était qu'un mandat d'audit complet évaluant le processus des contrôle et d'évaluation du contrôle bancaire n'est pas garanti dans le cadre du mécanisme de surveillance unique (MSS) et qu'avant novembre 2014, le champ d'audit des institutions nationales supérieures de contrôle des finances publiques allait bien au-delà de ce que la CCE est en mesure d'exercer aujourd'hui vis-à-vis de la BCE.

Fonte: https://www.eca.europa.eu/sites/cc/Lists/CCDocuments/Task_Force_EBU/Task_Force_EBU_FR.pdf

Audit parallèle des coûts des contrôles des Fonds structurels
Report ID: 320

En 2000, le Comité de contact des Présidents des ISC des États membres de l'UE et la CCE (Comité de contact) ont créé un groupe de travail chargé de réaliser une enquête exploratoire sur les Fonds structurels de l'UE. En 2008, le Comité de contact des Présidents des ISC de l'UE et de la CE a mandaté le Groupe de travail sur les Fonds structurels pour assurer le suivi des précédents audits des Fonds structurels de l'UE et pour réaliser un audit sur les "coûts des contrôles (cela pourrait inclure l'utilisation de l'assistance technique pour les contrôles des Fonds structurels)".

L'objectif de l'audit était d'identifier le niveau des coûts encourus par les activités de contrôle interne dans les États membres et d'examiner si les coûts des contrôles sont appropriés (par exemple, par rapport aux dépenses, par rapport au rapport coût-bénéfice, par rapport aux résultats, par rapport aux redondances).

Le groupe de travail a élaboré et adopté un plan d’audit commun (voir annexe) qui a fourni un cadre pour la réalisation de ces travaux. Chaque ISC a examiné les coûts encourus par l’administration de son État membre en 2007, 2008 et 2009 pour réaliser les contrôles internes nationaux prévus par la législation de l’UE concernant les Fonds structurels pour la période de programmation 2007-2013.

Deux méthodes ont été utilisées pour calculer les coûts des contrôles: la comptabilité par centre de coûts (cost centre accounting) et la comptabilité par unité d’imputation (cost unit accounting).

Observation d’ordre général et conclusions principales

• L’organisation du système de mise en oeuvre des Fonds structurels diffère d’un État membre à l’autre. Les coûts des contrôles peuvent varier selon le mode de mise en oeuvre choisi.

• En règle générale, les coûts des contrôles sont moins élevés lorsque l’on applique la comptabilité par unité d’imputation, par opposition à celle par centre de coûts. Les coûts des contrôles représentaient de 4,02 % à 0,36 % des trois septièmes du budget alloué aux programmes opérationnels audités. Ce pourcentage peut varier d’un État membre à l’autre en fonction du degré de mise en oeuvre. Corrigés afin de tenir compte des disparités salariales entre les États membres, ces coûts, exprimés en pourcentage, étaient compris entre 2,79 % et 0,41 %.

- Les coûts totaux des contrôles représentent en moyenne 0,97 % des trois septièmes du budget alloué à l’ensemble des programmes opérationnels audités.

- Dans chaque État membre, les coûts des contrôles étaient relativement faibles lorsqu’ils ont commencé, en 2007. Ils ont ensuite augmenté au fil des ans. Le nombre d’activités de contrôle et, par suite, leurs coûts devraient logiquement connaître une nouvelle augmentation au cours des prochaines années.

- La grande majorité de l’ensemble des coûts des contrôles effectués jusqu’à présent dans les États membres est imputable aux autorités de gestion. Les coûts des contrôles supportés par les autorités de certification et d’audit sont comparativement faibles, leur participation à des activités de contrôle ayant été limitée pendant la période 2007-2009.

• Les coûts des contrôles ne peuvent être calculés avec précision en raison du manque de données disponibles dans les États membres.

• L’externalisation d’un nombre relativement élevé de contrôles risque d’entraîner la perte de connaissances pour les organismes gouvernementaux, ainsi qu’une hausse des coûts.

• Alors que seules quelques activités de contrôle donnent lieu à des réalisations exprimées en unités monétaires, toutes sont susceptibles d’apporter des avantages non monétaires.

- Plusieurs entités auditées ont affirmé que la législation de l’UE fixe au préalable les objectifs visés par les différents contrôles, ainsi que les réalisations et les avantages qu’ils apportent.

Fonte: https://www.eca.europa.eu/sites/cc/Lists/CCDocuments/8729516/8729516_FR.PDF

Parallele Prüfung zu den Kosten für die Kontrollen der Strukturfonds
Report ID: 321

Im Jahr 2008 erteilte der Kontaktausschuss der Präsidenten der Obersten Rechnungskontrollbehörden (ORKB) der Mitgliedstaaten der Europäischen Union (EU) und des Europäischen Rechnungshofs (EuRH) der Arbeitsgruppe "Strukturfonds" den Auftrag, vorherige Prüfungen der EU-Strukturfonds weiterzuverfolgen und eine Überprüfung der "mit Kontrollen verbundenen Kosten (möglicherweise unter Berücksichtigung der Inanspruchnahme von technischer Hilfe für die Kontrollen der Strukturfonds)" durchzuführen. 15 ORKB der EU-Mitgliedstaaten1und der EuRH sind in der Arbeitsgruppe vertreten. Der Kontaktausschuss begrüßte die Absicht der Arbeitsgruppe, den betreffenden Prüfungsbericht dem Kontaktausschuss spätestens 2011 vorzulegen.

Die Arbeitsgruppe entwickelte und vereinbarte einen gemeinsamen Prüfungsplan (siehe Anhang), der einen Rahmen für die Durchführung der Überprüfung lieferte. Die einzelnen ORKB führten in ihren jeweiligen nationalen Behörden für die Jahre 2007, 2008 und 2009 Untersuchungen zu den Kosten der internen nationalen Kontrollen durch, die in den EU-Rechtsvorschriften im Bereich der Strukturfonds für den Programmplanungszeitraum 2007-2013 vorgeschrieben sind.

Die Kontrollkosten wurden anhand zwei verschiedener Methoden berechnet: der Kostenstellenrechnung und der Kostenträgerrechnung. Das System zur Umsetzung der Strukturfonds ist in den einzelnen Mitgliedstaaten unterschiedlich organisiert. Die verschiedenen Arten der Umsetzung können sich auf die Kontrollkosten auswirken.

• Bei der Berechnung der Kontrollkosten anhand der Kostenträgerrechnung ergibt sich im Allgemeinen ein geringerer Betrag als bei der Kostenstellenrechnung.

o Bezogen auf 3/7 der Gesamtmittelausstattung5 der geprüften operationellen Programme beläuft sich der prozentuale Anteil der höchsten Kontrollkosten auf 4,02 % und der niedrigsten Kontrollkosten auf 0,36 %. Dieser Prozentsatz kann vom jeweiligen Umsetzungsgrad in jedem Mitgliedstaat beeinflusst werden. Bereinigt um die Lohnunterschiede zwischen den Mitgliedstaaten beliefen sich die höchsten Kontrollkosten auf 2,79 % und die niedrigsten Kontrollkosten auf 0,41 %.

o Der durchschnittliche prozentuale Anteil der gesamten Kontrollkosten bezogen auf 3/7 der Gesamtmittelaustattung aller geprüften operationellen Programme beträgt 0,97 %.

o In allen Mitgliedstaaten waren die Kontrollkosten im Jahr 2007 noch verhältnismäßig gering und stiegen dann Jahr um Jahr an. In den Folgejahren kann von einem weiteren Anstieg der Kontrolltätigkeiten und daher der damit verbundenen Kosten ausgegangen werden.

o Die überwiegende Mehrheit aller Kosten für bislang in den Mitgliedstaaten durchgeführte Kontrollen entfällt auf die Verwaltungsbehörden. Die für die Bescheinigungsbehörde und Prüfbehörde angefallenen Kontrollkosten sind relativ gering, da diese Behörden in den Jahren 2007-2009 nur begrenzt an Kontrolltätigkeiten beteiligt waren.

• Aufgrund des Mangels an verfügbaren Daten in den Mitgliedstaaten ist keine genaue Berechnung der Kontrollkosten möglich.

• Ein relativ hoher Anteil der Kontrollen wurde ausgelagert. Dies ist für die Regierungsstellen mit dem Risiko von Wissensverlust sowie mit höheren Kosten verbunden.

• Nur manche Kontrolltätigkeiten führen zu monetären Outputs, sie können jedoch alle einen nicht monetären Nutzen haben.

o Einige geprüfte Stellen waren der Auffassung, dass sowohl der Zweck einzelner Kontrollen als auch die Outputs und der Nutzen einzelner Kontrolltätigkeiten durch EU-Rechtsvorschriften vorbestimmt seien.

Quelle:https://www.eca.europa.eu/sites/cc/Lists/CCDocuments/8729516/8729516_DE.PDF